LONDRES / ROYAUME-UNI
Le National Trust, organisme basé au Royaume-Uni et chargé de la préservation du patrimoine naturel et architectural, va supprimer près de 1 300 postes en raison du coronavirus sur un effectif de 10 000.
L'association, qui cherche à économiser 100 millions de livres sterling (110 millions d'euros) par an, avait annoncé en juillet la possible suppression de 1 200 postes.
Jeudi, elle a annoncé après consultation 514 licenciements secs et 782 départs volontaires, soit une réduction de près de moitié du nombre des départs contraints.
Outre les suppressions de postes, qui devraient permettre de réaliser 59 millions de livres par an, le National Trust va économiser annuellement 41 millions de livres en réduisant les dépenses.
« Aucun dirigeant ne veut se retrouver forcé d'annoncer des licenciements, mais à cause du coronavirus, nous n'avons tout simplement pas le choix », a déclaré dans un communiqué la directrice générale de l'association, Hilary McGrady.
Fondé il y a 125 ans, le National Trust, qui gère un grand nombre d'espaces naturels et monuments en Angleterre, au Pays de Galles et en Irlande du Nord, a également gelé les embauches, puisé dans ses réserves et recouru à l'emprunt.
Cet article a été publié par l'AFP le 8 octobre 2020 sous le titre : « Royaume-Uni : une association de protection du patrimoine va supprimer près de 1 300 postes »
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Le National Trust britannique va supprimer près de 1 300 postes
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