PARIS - La cour d’appel de Paris a estimé, le 4 décembre, que la justice française était compétente pour décider d’une éventuelle tutelle de Zao Wou-ki, installé en Suisse depuis l’automne 2011 à l’initiative de sa femme et contre l’avis de son fils Jia-Ling Zhao.
Ce dernier accuse sa belle-mère de vouloir mettre la main sur l’œuvre inestimable du peintre franco-chinois. Il a, en outre, déposé plainte pour abus de faiblesse mais aussi pour usage de faux et abus de confiance, tandis que la femme de Zao Wou-ki devrait se pourvoir en cassation.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
L’affaire Zao Wou-ki, suite
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°381 du 14 décembre 2012, avec le titre suivant : L’affaire Zao Wou-ki, suite