Commémorer et non célébrer : le Centenaire qui s’annonce est, en France comme à l’étranger, l’occasion de revenir sur une période sombre mais fondatrice.
D’une certaine façon, la commémoration de la Première Guerre mondiale a débuté le 7 novembre dernier avec le discours de François Hollande. Le président de la République a notamment annoncé que son homologue de la République fédérale d’Allemagne viendrait en France le 3 août 2014, jour anniversaire de l’entrée en guerre, et que les 72 pays belligérants étaient invités à participer au défilé du 14 Juillet 2014. Ce ne sont là que deux événements, certes symboliquement très fort, parmi les innombrables qui vont s’égrener de 2014 à 2018, en France mais aussi dans de nombreux pays concernés par la Grande Guerre.
Si la dimension historique est naturellement première, avec l’organisation d’une multitude d’expositions documentaires, en particulier dans les musées d’histoire, les arts visuels prendront également part à cette vaste commémoration. C’est aussi l’occasion pour les lieux de mémoire d’entreprendre un large programme de restauration. À commencer par les monuments aux morts, qui resteront encore longtemps la plus importante commande publique.
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La Grande Guerre, cent ans après
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°405 du 17 janvier 2014, avec le titre suivant : La Grande Guerre, cent ans après