PARIS - En 1993, lors de l’inauguration de l’aile Richelieu, la salle dite « du Code de Hammurabi » (département des Antiquités orientales) avait été ouverte au public dans un état provisoire.
Après d’importants travaux, elle offre aujourd’hui une nouvelle présentation muséographique due à l’architecte Jean-Michel Wilmotte, et propose un parcours chronologique et simplifié de l’Orient ancien. Au total, plus de 500 œuvres y sont présentées. Au centre trône le Code de Hammurabi (vers 1750 av. J.-C.), œuvre capitale de la civilisation mésopotamienne et recueil juridique essentiel du Proche-Orient. Il est entouré de pièces comme les peintures murales provenant du palais de Mari ou les statues d’Eshnunna. Dans les espaces latéraux prennent place des petits bronzes, terres cuites, stèles et sceaux organisés en sections chronologiques.
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Hammurabi, le retour
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°182 du 5 décembre 2003, avec le titre suivant : Hammurabi, le retour