Fiona Meadows se présente comme « une jeune femme de 32 ans, mère de famille et enseignante depuis six ans à l’École d’Architecture de Paris-La Villette ». Après deux années à Kyoto et Osaka (1992-1994), elle a poursuivi sa thèse sur les maisons théoriques d’architectes japonais. « Pour l’architecture en général, explique l’architecte DPSG, mon hypothèse est que, depuis le début des années 70, le désordre est la notion opératoire dans le projet architectural. » Une théorie qu’elle va enfin concrétiser avec son mari Frédéric Nantais et leur agence Archi média dans La Maison du divorce qui sera réalisée en Normandie. Une réalisation qui ne fait pas oublier à Fiona l’importance des rencontres et des discussions qui en résultent. C’est pourquoi elle organise depuis cinq mois les Salons d’actualité de l’Institut français d’Architecture. Ce mois-ci, autour de l’exposition « Images, Média et Architectures » (Philippe Mafre, Miguel Chevalier...), Fiona poursuit ses rencontres du mardi et du jeudi soir, avec entre autres, l’artiste Tadashi Kawamata.
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Fiona Meadows en théorie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°514 du 1 mars 2000, avec le titre suivant : Fiona Meadows en théorie