En qualité de président du Centre Pompidou, quel est votre sentiment sur cette idée de financement des nouvelles acquisitions ?
Cette idée refléterait un certain pragmatisme anglo-saxon, mais il n’est pas du tout certain que le V&A la retienne.
Si la législation le permettait, vous laisseriez-vous tenter par une telle démarche ?
Ce n’est pas dans notre esprit ni dans nos missions. Nous préférons compléter la collection de musées en régions pour lesquels certaines de nos œuvres présenteraient un intérêt spécifique en raison de thème, par exemple, ou parce que l’artiste a un lien local.
Dans quelle mesure vos initiatives à l’étranger se démarquent-elles de la location d’œuvres ?
Notre approche internationale privilégie en ce moment la recherche d’une implantation en Asie (lire p. 3). Notre objectif est évidemment culturel. Il n’est pas de nature commerciale.
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Bruno Racine, président du Centre Pompidou
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°244 du 6 octobre 2006, avec le titre suivant : Bruno Racine, président du Centre Pompidou