PARIS
Électricité - On connaît surtout la Fondation EDF, créée en 1987 par Marcel Boiteux, alors président de l’entreprise, pour son espace baptisé Electra ouvert dans une ancienne sous-station électrique construite en 1910, rue Récamier à Paris.
Rebaptisé depuis Espace EDF, on y organise toujours des expositions et des dialogues avec des penseurs et experts. Mais la Fondation EDF, c’est bien davantage, surtout depuis qu’en 2016, elle est devenue une structure de groupe, alimentée non seulement par EDF, mais aussi par ses filiales ERDF, Dalkia et EDF Énergies nouvelles. Pour son mandat 2016-2019, sa dotation est ainsi passée à 40 millions d’euros. Des moyens importants pour agir dans le domaine du progrès technologique et de la solidarité. « Notre fil rouge, c’est l’engagement citoyen du groupe avec une préoccupation d’utilité sociale et de mobilisation du personnel », souligne Hugues Renson, délégué général de la Fondation Groupe EDF qui soutient l’accès au savoir pour développer la compréhension des technologies et favoriser le goût des jeunes pour la science. La fondation aide également la recherche médicale liée aux applications thérapeutiques de l’électricité et s’intéresse à la révolution digitale comme levier de cohésion sociale. En matière de solidarité, la structure de mécénat lutte contre la précarité, l’exclusion et les discriminations, accompagne l’insertion professionnelle des jeunes et des personnes en difficulté, et mise sur l’intervention humanitaire alors que le quart de la planète n’a pas accès à l’électricité…
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Fondation EDF : bien plus qu’un centre d’art
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°703 du 1 juillet 2017, avec le titre suivant : Fondation EDF : bien plus qu’un centre d’art