Vif et pétillant, Michel David-Weill s’est imposé par lui-même. Héritier de la célèbre banque d’affaire Lazard Frères, il poursuit dans la tradition familiale sa quête des « beaux objets », meubles et tableaux anciens.
Collectionneur assidu et discret, le Président du conseil artistique de la Réunion des Musées nationaux depuis 1988 aide le Louvre en apportant sa contribution financière à des achats (dernièrement une patène byzantine en or émaillée et sardoine) ou à l’aménagement du musée (aile Percier et Fontaine). Une générosité dont il a fait, avec sa femme, profiter également le Cloisters Museum de New York. À 67 ans, le banquier reste à l’écoute de tous, disponible et bienveillant quand il s’agit d’art. Une excellente raison pour qu’Elizabeth Rohatyn, épouse de l’ambassadeur des États-Unis en France et présidente de FARM (French and American Regional Museums), lui demande de participer à la conférence franco-américaine des musées qui se tiendra en octobre à Saint Louis aux États-Unis.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Les cadeaux de Michel David-Weill
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°513 du 1 février 2000, avec le titre suivant : Les cadeaux de Michel David-Weill