PEINTURE. Le nom de Pierre Daix (né en 1922) est étroitement attaché à ceux d’artistes qui ont fait le XXe siècle.
D’abord à celui de Picasso dont il fut l’ami et sur lequel il a laissé un grand nombre d’écrits critiques importants – dont le précieux Dictionnaire Picasso –, mais aussi à celui de Hans Hartung et de Zao Wou-Ki. Aux éditions Ides et Calendes, chez qui l’écrivain, ancien résistant et militant communiste repenti a déjà signé, Pierre Daix livre un nouvel essai, après celui de 1993, sur l’art de Zao Wou-Ki (disparu en avril dernier). Inspiré, ce texte retrace le parcours du peintre chinois débarqué à Marseille en 1948 pour tâcher de comprendre, écrit le critique, pourquoi « Wou-Ki n’avait besoin d’aucun passeport pour passer la frontière de l’abstraction ». n Fabien Simode
Pierre Daix, Zao Wou-Ki, Ides et Calendes, Polychrome, 128 p., 24 €.
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Pierre Daix, Zao Wou-Ki, Ides et Calendes
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°659 du 1 juillet 2013, avec le titre suivant : Pierre Daix, Zao Wou-Ki, Ides et Calendes