Un premier livre – un « grimoire », selon l’intéressé – présentait le travail de Théo Mercier jusqu’en 2012 (All You Can Eat).
L’ouvrage qui paraît aujourd’hui, toujours chez Dilecta, reprend le fil de cette première édition pour couvrir la période 2013-2020 du plasticien et metteur en scène. Son titre est emprunté au nom que l’artiste a donné à sa collection de rochers artificiels d’aquarium (plus de 700 spécimens) : La possession du monde n’est pas ma priorité. Après un entretien d’ouverture avec l’historien de l’art Jean-Hubert Martin, la monographie fait se succéder les projets de l’artiste : expositions (comme celle au Lieu unique à Nantes en 2013) et spectacles (à l’instar de Radio Vinci Park créé en 2016 à la Ménagerie de verre). Avec sa couverture entoilée, ses 260 photographies superbement reproduites et son façonnage original, ce livre ravira les amateurs – nombreux – de l’œuvre de Théo Mercier.
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Théo Mercier
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°739 du 1 décembre 2020, avec le titre suivant : Théo Mercier