Un premier livre – un « grimoire », selon l’intéressé – présentait le travail de Théo Mercier jusqu’en 2012 (All You Can Eat).
![J.-H. Martin, M. de Brugerolle, S. Mohebbi, Théo Mercier. La possession du monde n’est pas ma priorité, Dilecta](/sites/lejournaldesarts/files/styles/libre_w468/public/2020-12/j-h-martin-brugerolle-mohebbi-theo-mercier-la-possession-du-monde-n-est-pas-ma-priorite-dilecta.jpg?h=92e45c5e&itok=odL0UsQk)
L’ouvrage qui paraît aujourd’hui, toujours chez Dilecta, reprend le fil de cette première édition pour couvrir la période 2013-2020 du plasticien et metteur en scène. Son titre est emprunté au nom que l’artiste a donné à sa collection de rochers artificiels d’aquarium (plus de 700 spécimens) : La possession du monde n’est pas ma priorité. Après un entretien d’ouverture avec l’historien de l’art Jean-Hubert Martin, la monographie fait se succéder les projets de l’artiste : expositions (comme celle au Lieu unique à Nantes en 2013) et spectacles (à l’instar de Radio Vinci Park créé en 2016 à la Ménagerie de verre). Avec sa couverture entoilée, ses 260 photographies superbement reproduites et son façonnage original, ce livre ravira les amateurs – nombreux – de l’œuvre de Théo Mercier.
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![](https://www.lejournaldesarts.fr/sites/lejournaldesarts/files/styles/landscape_w150/public/2020-12/j-h-martin-brugerolle-mohebbi-theo-mercier-la-possession-du-monde-n-est-pas-ma-priorite-dilecta.jpg?h=d5f95003&itok=dNdwEC9j)
Théo Mercier
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°739 du 1 décembre 2020, avec le titre suivant : Théo Mercier