En 2017, Taschen publiait le livre le plus complet sur Peter Lindbergh à l’occasion de l’exposition monographique A Different Vision on Fashion Photography au Kunsthal de Rotterdam.
La disparition du célèbre photographe de mode le 3 septembre dernier donne lieu à sa réédition avec les mêmes textes critiques traduits en français. D’Azzedine Alaïa à Yohji Yamamoto, le livre fait défiler, couturier après couturier, quarante années de création que l’on ne se lasse pas ici de revoir comme un très bon film. Sa manière de représenter les mannequins au naturel et de capter leur personnalité a bousculé en son temps les codes en vigueur, mais surtout continue à transporter dans ce qui peut émouvoir dans la beauté d’une femme, d’un geste ou d’un regard. Parallèlement, l’édition en coffret de deux volumes de son travail plus spécifique sur Dior dévoile des inédits et des travaux plus méconnus, dont l’un des tout derniers shootings réalisé dans les rues de New York à partir de 80 robes vintage issues des archives de la maison de couture.
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Peter Lindbergh
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°728 du 1 novembre 2019, avec le titre suivant : Peter Lindbergh