Le titre est emprunté à un poème de Rimbaud, dont de nombreux vers illuminent le texte. Ce dernier évoque la rencontre de Détélina, curieuse Alice aux pays des merveilles fascinée par les mineurs de fond, et de son fils si différent des autres, amoureux des couleurs, avec un étranger venu d’une terre de combats.
Plus qu’un récit, le roman paraît comme un tableau, qui se dévoilerait au lecteur au fil des pages : les ténèbres des mines laissent place à des scènes si justement colorées qu’elles auraient leur place « dans les jardins enluminés de Hockney ou sur les plages fleuries de Gauguin ».
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Par les soirs bleus d’été
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°726 du 1 septembre 2019, avec le titre suivant : Par les soirs bleus d’été