Impossible d’éluder André Malraux comme acteur décisif de la critique d’art au XXe siècle.
Les éditions Gallimard ont publié en octobre deux volumes (tome I : 57 euros, tome II : 65 euros) de la Pléiade où figurent notamment La Métamorphose des Dieux, Les Voix du silence et Le musée imaginaire avec des illustrations reproduites sur papier bible. Passeur de sensations, d’intuitions, Malraux aborde les événements artistiques en écrivain et les rapproche « par métaphore » (Jean-Yves Tadié). Au fil de croisements temporels et géographiques, se développe une vision historique, psychologique et personnelle au lyrisme contagieux. En complément de ces publications en Pléiade, sont parus, toujours chez Gallimard, deux excellents ouvrages sur les rapports de Malraux à l’art : L’Expérience existentielle de l’art de Henri Godard et André Malraux et la tentation l’Inde de Jean-Claude Perrier.
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Malraux et l’art
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°564 du 1 décembre 2004, avec le titre suivant : Malraux et l’art