Il fut le fils du grand Tiepolo, et le dernier Vénitien, avant la victoire de Napoléon Bonaparte en 1797 sur la République de Venise.
Mais qui connaît encore le nom de Giandomenico Tiepolo ? Gilles Hertzog le ressuscite en se glissant dans la peau de ce peintre à la fin de sa vie, qu’il vécut dans l’ombre de son père, dont il fut le discret et fidèle assistant. Son récit teinté de douleur et d’amertume, dans une Venise brillant de ses derniers feux, s’achève sur l’évocation de l’œuvre ultime de l’artiste, cent quatre merveilleux dessins de Polichinelles paradant dans la cité qu’on appelait la Sérénissime. Un roman à la mélancolie brûlante et douce des crépuscules.
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L’adieu à Venise
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°725 du 1 juillet 2019, avec le titre suivant : L’adieu à Venise