ESSAI. L’entracte, c’est ce temps coincé entre deux : deux actes, deux actions. Chez Hopper, c’est le temps du vide, celui d’un monde en suspens apparemment banal et délibérément figé.
Un temps coincé (mais entre quoi et quoi ?), énigmatique (mais l’est-il vraiment ?). Alain Cueff profite de la rétrospective du Grand Palais pour réfléchir à la peinture de celui qui a influencé Hitchcock, l’autre maître absolu du suspens au cinéma. À travers ses écrits, ses voyages en Europe, la confrontation avec ses contemporains ou des analyses de tableaux, l’historien de l’art tente de comprendre une œuvre si complexe qu’elle semble se dérober chaque page un peu plus…
Flammarion, 290 p., 20 e.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
À la recherche d’Edward Hopper
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°649 du 1 septembre 2012, avec le titre suivant : À la recherche d’Edward Hopper