Qui a dit que l’art devait faire sacandale pour gagner prestige ? L’historien Stéphane Guégan ouvre l’enquête et fait la preuve par cent qu’une œuvre d’art peut réserver son message provocateur aux plus fins observateurs, tout comme elle pourra choquer la galerie par calcul. Ses textes sont autant de piqûres de rappel sur l’évolution de l’interprétation de ces œuvres depuis l’époque de leur création.
Hazan, coll. « Beaux-arts », 2013, 336 p., 180 ill., 39 €.
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La preuve par cent
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°401 du 15 novembre 2013, avec le titre suivant : La preuve par cent