Venise, 20 décembre 1577. Le palais des Doges est dévasté par les flammes.
C’est le début d’une épopée artistique qui durera dix années, au long desquelles s’affrontent les plus grands maîtres de Venise, Tintoret, Véronèse, Francesco Bassano, Palma le Jeune et Zuccaro. L’enjeu : remporter le concours qui leur permettra de peindre Le Paradis dans la salle du Grand Conseil du palais ducal. Dans ce premier roman, Clélia Renucci retrace cette lutte ponctuée de trahisons familiales, de déchirements politiques et de morts, qui s’achève par la réalisation et l’inauguration du chef-d’œuvre de Tintoret, en 1592. Si le sujet est passionnant, le texte manque quelque peu de souffle littéraire et les personnages de profondeur et de chair. On ne s’embrase pas, tout en se régalant néanmoins des coulisses du Paradis.
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Concours pour le Paradis
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°715 du 1 septembre 2018, avec le titre suivant : Concours pour le Paradis