Tandis que « les femmes artistes sont dangereuses » (titre second degré d’un livre récent), Charlotte Perriand est pour Laure Adler tout le contraire : « partageuse, généreuse, travailleuse ».
Dans un ouvrage beau et sensible, la journaliste et essayiste dresse un portrait émouvant de la designer avec laquelle elle s’est entretenue à l’automne 1998, un an avant sa disparition. Un portrait personnel et profondément humain, entrecoupé de photographies réunies en albums, de celle que l’histoire relègue encore au rang de collaboratrice de Le Corbusier, quand elle ne l’oublie tout simplement pas. « Qui connaît Charlotte Perriand aujourd’hui ? », s’interroge Adler. Grâce à son livre, les lecteurs, eux, ne l’oublieront plus.
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Charlotte Perriand
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°730 du 1 janvier 2020, avec le titre suivant : Charlotte perriand