Il ne s’agit que de deux bronzes grecs mais ce sont sans doute les pièces les plus importantes qui aient traversé les siècles jusqu’à nous. Découvertes par un plongeur en 1972, restaurées au laboratoire d’archéologie de Florence, conservées au Museo nazionale de Reggio di Calabria, ces sculptures montrent sans doute deux guerriers d’Argos, héros de la lutte contre Thèbes.
Paolo Moreno, Bronzes de Riace, éd. Gallimard, 92 p., 94 ill.,195 F, ISBN 2-07011-631-X.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°512 du 1 décembre 1999, avec le titre suivant : Bronzes de Riace