À Paris, en régions et dans le monde, les expositions à voir dans les galeries et chez les antiquaires.
Après l’avoir montré sur la foire Paréidolie de Marseille fin août, Delphine Guillaud et Séverine de Volkovitch orchestrent, dans leur galerie, le premier solo show de Thomas Lévy-Lasne, né à Paris en 1980. Sont proposées une quarantaine d’œuvres, peintures et dessins, pour des prix allant de 800 à 12 000 euros. Avec une grande minutie et un sens indéniable du cadre, le jeune plasticien représente l’ivresse de l’alcool, les fêtes nocturnes, les manifs ainsi que le sexe et ses avatars ; le titre de l’expo, « La fragilité », fait référence au tragique de la période actuelle, en proie à la menace terroriste.
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Thomas Lévy-Lasne, la fragilité
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Abonnez-vous dès 1 €Galerie Backslash, 29, rue Notre-Dame-de-Nazareth, Paris-3e, www.backslashgallery.com
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°696 du 1 décembre 2016, avec le titre suivant : Thomas Lévy-Lasne, la fragilité