Comment avez-vous contribué à renouveler le papier peint ?
Il y a une petite dizaine d’années, nous avons décidé de réactiver le papier peint panoramique, qui avait disparu. On en voyait beaucoup dans les années 1980, représentant des paysages champêtres, des sommets enneigés… Nous avons voulu revisiter le genre de façon contemporaine, à travers une collection hétéroclite faisant intervenir graphistes
et designers.
Pourquoi chaque papier peint est-il signé ?
C’est une façon d’apporter de l’innovation dans un milieu très traditionnel… Mais je ne pense pas que le choix des clients se fasse sur le nom d’un artiste : il s’agit d’un décor aux dimensions d’un mur, si bien que le choix est trop impliquant pour que la signature seule détermine la décision…
Pourquoi les séries sont-elles limitées ?
Nous éditons en effet cent exemplaires de chaque papier peint par an, en nous efforçant de garder un prix accessible, car nous aimons bien cette idée : sans doute, nous semble-t-il amusant de nous rapprocher un peu ainsi du marché de l’art !
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Stéphane Arriubergé Fondateur de Domestic
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°687 du 1 février 2016, avec le titre suivant : Stéphane Arriubergé Fondateur de Domestic