PARIS - C’est à partir d’une peinture réalisée en 1990 que Gerhard Richter, exposé chez Marian Goodman à Paris, s’est affronté aux nouvelles technologies. La série inédite de ses grands tirages numériques intitulée « Strips » a en effet été conçue par le biais d’un logiciel qui lui a permis de diviser en plus de 8 000 bandes horizontales parallèles les motifs de la toile Abstract Painting. Les étapes successives du processus de division donnant lieu à une démultiplication de motifs. Mais Richter a conçu également des œuvres où le matériau du verre est présent, dans une grande structure réfléchissante comme dans une autre série de peintures, sous verre cette fois, aux formes ondoyantes. Sa rétrospective « Panama », qui a débuté le 6 octobre à la Tate Modern de Londres, sera présentée au Centre Pompidou à Paris à l’été 2012, après une étape à la Nationalgalerie de Berlin au printemps.
79, rue du Temple, 75003 Paris, tél. 01 48 04 70 52. Jusqu’au 3 novembre.
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Peintures numériques
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°355 du 21 octobre 2011, avec le titre suivant : Peintures numériques