PARIS
L’exposition de Min Jung-Yeon à la Galerie Maria Lund marque une nouvelle évolution dans le travail de l’artiste.
Dans ses nouveaux dessins, le tissage des polarités s’incarne désormais moins dans le sujet que dans le geste. Un geste qui s’est libéré. Ici, la surface est habitée par la trace de grands mouvements de pinceau. Là, des petites touches d’encre ou de crayon. Libération de la matière dans laquelle surgit la présence du paysage.
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Min Jung-Yeon - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°733 du 1 avril 2020, avec le titre suivant : Min Jung-Yeon - En galerie