Chaque chaise « suggère le destin de celui qui vient de la quitter, elle attend l’arrivée possible, par des chemins imprévus, d’on ne sait qui », écrit le peintre Jean Pierre Schneider (né en 1946) qui a longtemps exploré l’abstraction avant de renouer avec le sujet, il y a une quinzaine d’années.
Ses chaises hurlant l’absence dialoguent au sein de la galerie Univer avec les eaux calmes et passives du canal, cet « espace ouvert à la contemplation, à l’infini ». Une trentaine de toiles, élaborées entre 2022 et 2024, appellent ainsi à méditer sur l’espace pictural de Jean Pierre Schneider, structuré comme une architecture, un paysage, un lieu, qui raconte le désir et l’attente.
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Jean Pierre Schneider - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°778 du 1 septembre 2024, avec le titre suivant : Jean Pierre Schneider - En galerie