Celle qu’on appelle la « belle bourgeoise » présente une offre culturelle dense et variée, qu’elle devrait mieux coordonner et mettre en avant.
Strasbourg partage avec Toulouse, objet de notre première enquête sur la politique culturelle d’une grande ville (lire le JdA no 379, 16 novembre 2012) plusieurs points communs : un riche patrimoine, de nombreux musées, un changement d’équipe municipale en 2008, une école d’art reconnue, une candidature malheureuse pour le titre de « Capitale européenne de la culture ».
Mais les comparaisons s’arrêtent là. Autant Toulouse souffre d’un rayonnement à construire, autant Strasbourg doit affronter un problème de lisibilité de son offre culturelle dense et variée. La scène contemporaine est nettement plus structurée dans la ville alsacienne que dans la Ville rose, le marché de l’art y est aussi plus actif. Et, alors que Toulouse est encore enclavée, Strasbourg est située dans un carrefour géographique qui lui permet d’envisager un développement international.
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Strasbourg la culture sans tapage
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Légende Photo :
Le Palais du Rhin, Strasbourg. © Photo : OT Strasbourg
Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°390 du 26 avril 2013, avec le titre suivant : Strasbourg la culture sans tapage