PARIS [26.05.09] – Galeristes et antiquaires critiquent deux dispositions contenues dans un projet de loi, qui autoriseraient les SVV à réaliser des ventes de gré à gré et à transférer le droit de suite à l’acheteur.
Le gouvernement réfléchit actuellement à une modification de la réglementation de l’activité des maisons de vente. S’inspirant du Rapport Bethenod sur le marché de l’art, il envisage d’autoriser les SVV à procéder « à titre accessoire à la vente de gré à gré de biens meubles ».
Experts, antiquaires et galeristes y voient une concurrence directe pour leurs propres activités. Ils s’inquiètent de ce que les maisons de vente, fortes de leurs équipes de spécialistes et du prestige ou la notoriété de leurs vacations publiques disposent ainsi d’un avantage considérable sur l’activité de vente de gré à gré.
Ces mêmes marchands, par la voix de leurs syndicats professionnels respectifs, s’opposent à une autre disposition du projet de loi : permettre le transfert à l’acheteur de la charge du droit de suite.
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Galeries et antiquaires s’opposent à deux dispositions du projet de réforme des ventes volontaires
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