Dans le cadre d’« Un été au Havre », Théo Mercier (né en 1984) présente au Portique des œuvres créées pour l’occasion et issues d’un travail réalisé avec des artisans du sud du Mexique à partir d’objets de rebuts (pneus, bouteilles en plastique…).
Affirmant que « les objets sont des organismes vivants, mutants », l’ancien pensionnaire de la Villa Médicis confère préciosité à ces déchets en y apposant une couche d’onyx ou une peau de coquillage. Un œuvre passionnant traitant de la métamorphose, de la mutation permanente et des flux, dont les océans peuvent être des allégories.
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Théo Mercier
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°745 du 1 juillet 2021, avec le titre suivant : Théo Mercier