BÂLE / SUISSE
Depuis une infection pulmonaire contractée durant son adolescence, l’artiste allemande aujourd’hui âgée de 75 ans n’a cessé d’étudier le corps – ses potentialités, ses limites, son augmentation.
Ce sont précisément les thèmes de l’exposition « Fantasmagories corporelles ». Machines animées, vidéos de performances de jeunesse et installations cinétiques plus tardives évoquent le galbe des êtres célestes, la mécanique des circulations sanguines ou l’extension des organes corporels par l’objet technique.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°724 du 1 juin 2019, avec le titre suivant : Rebecca Horn