Sculptures, performances, vidéos ou installations, toutes les œuvres de Myriam Mihindou (née en 1964) traitent du corps, de l’identité, de la mémoire.
Rassemblant des travaux réalisés entre 2000 et 2020, l’exposition donne à voir la pluralité et la richesse, tant esthétique que conceptuelle, de l’œuvre de la Franco-Gabonaise. Pour l’occasion, l’espace du Transpalette est envisagé comme un silo, ici « synonyme du grand corps, le corps collectif, celui qui rassemble les vivants et les morts, les humain.es et non-humain.es », selon Julie Crenn, commissaire de l’exposition.
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Myriam Mihindou
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°745 du 1 juillet 2021, avec le titre suivant : Myriam Mihindou