PARIS
Sortir des âges obscurs, réinventer le surréalisme, en faire un art solaire et une ode à la vie : c’est ce que propose Magritte à André Breton après la Seconde Guerre mondiale et l’Occupation.
Ce dernier refuse. Qu’importe : René Magritte peint jusqu’en 1947 plus de 70 tableaux, qu’il inscrit dans ce qu’il nomme sa « Période Renoir », son « art solaire » ou encore son « surréalisme en plein soleil ». Le Musée de l’Orangerie nous fait redécouvrir son dialogue artistique lumineux avec le peintre des Baigneuses.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°745 du 1 juillet 2021, avec le titre suivant : Magritte/Renoir