Anne et Patrick Poirier se revendiquent « architectes archéologues » depuis leur voyage au Cameroun en 1970. Ils développent un travail commun autour de la mémoire et des vestiges en s’intéressant particulièrement à l’architecture sous forme de maquettes, de dessins et de plans. Leur exposition « La chambre d’Orphée » au Musée Jean Cocteau est l’occasion de rappeler leurs liens avec l’œuvre du maître. Conçue autour de cinq œuvres, elle permettra d’ouvrir un dialogue autour de la collection donnée par Séverin Wunderman.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Les Poirier
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Musée Jean Cocteau, collection Séverin Wunderman, 2, quai de Monléon, Menton (06), www.museecocteaumenton.fr
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°681 du 1 juillet 2015, avec le titre suivant : Les Poirier