L’exploration des liens entre l’homme et la mer est source de récits visuels les plus variés. La 13e édition du Festival photo du Guilvinec n’y déroge pas.
Des surfeurs de Gaza d’Andrew McConnell à la saga des Baras d’Irène Jonas (nom donné pendant cinquante ans à 15 navires de pêche), la programmation offre une vision sensible et inattendue de ces liens. Frédéric Mery relate ainsi les plongées quotidiennes en apnée de Japonaises pour pêcher jusqu’à 12 mètres de profondeur. Le focus sur le Chili, le premier dédié à un pays, révèle notamment le travail du jeune Cristobal Olivares sur les conséquences de la pêche intensive dans le détroit de Magellan et les travaux de photographes sur Valparaiso. Dans le port ou dans les rues, sur les places ou sur les murs des maisons, la promenade photographique décline également les portraits subtils de femmes marins pêcheurs de Julie Bourges, un état des lieux du monde maritime de Lorraine Turci et l’apprentissage des métiers de la mer relaté par Olivier Jobard, tous trois lauréats de la Grande commande photographique du ministère de la Culture.
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La mer pour horizon
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°766 du 1 juillet 2023, avec le titre suivant : La mer pour horizon