Dossier
Après New York, Paris accueille au Grand Palais, à partir du 18 octobre, dans une version restreinte, une nouvelle exposition Picasso organisée par William Rubin et consacrée au portrait. Près de cent cinquante peintures et dessins, de 1897 à 1972, sont réunis pour circonscrire un thème nécessairement ambigu dans l’œuvre de l’inventeur du Cubisme, à travers Guillaume Apollinaire, Max Jacob, les membres de sa famille, et plus particulièrement ses femmes successives. Le portrait occupe chez Picasso une place capitale, mais aussi délicate et complexe, dès ses débuts et jusqu’aux derniers jours. Même si la critique américaine a jugé avec un entrain très relatif l’exposition au MoMA, elle est assurée de remporter tous les suffrages à Paris, où le génie de Picasso est perçu comme faisant partie intégrante du patrimoine national. En plus du volumineux catalogue, de nombreux livres, vidéos et CD-Roms accompagneront comme à l’habitude ce qui est annoncé comme l’événement de l’automne.
Dossier
Plus encore que sous son premier mandat, le président Donald Trump mène une bataille sans merci c
Dossier
L’affaire des faux meubles vendus au Château de Versailles (entre autres) a ébranlé le marché de
Recevez quotidiennement l'essentiel de l'actualité de l'art et de son marché.
Le Journal des Arts
Pourquoi le marché de l’art a chuté en 2024
La singularité du marché de l’art en France
Un téléphérique bientôt posé sur Monemvasia ?
Ce qu’il faut retenir du procès des faux meubles
Pas de miracle pour Art Paris 2025
L'ŒIL
L’éternel printemps de David Hockney
Quand le hip-hop s’approprie l’art contemporain
Artemisia, une artiste à la manœuvre
12 artistes brésiliens à (re)découvrir
La fin des architectes stars ?
La Malmaison, un centre d’art dans l’air du temps