Certainement. L’intérêt et la curiosité manifestés pour le livre photo, particulièrement créatif et inventif au Japon, l’ont favorisée, soutenue.
En raison d’un marché pendant longtemps inexistant malgré une scène particulièrement active et créative. Quand ce marché a commencé à exister à la fin des années 1970, il s’est intéressé par ailleurs davantage aux photographes américains ou européens que japonais. Cas de la Galerie PGI, créée en 1979, avec laquelle nous avons eu un projet de portfolio Ueda. C’est d’ailleurs l’intérêt manifesté par les Occidentaux pour la photographie japonaise lors de leur séjour à Tokyo qui a poussé les enseignes à s’intéresser à la scène nationale.
Du fait que le marché n’existait pas, et que l’usage des tirages était destiné aux livres, aux revues, pas aux murs d’une galerie ou d’un musée.
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Questions à... Didier Brousse
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°708 du 1 janvier 2018, avec le titre suivant : Questions à... Didier Brousse