PARIS - La génération pop actuelle a son Dieu vivant en la personne de Guy Peellaert. Un énigmatique personnage dont on dit qu’il serait né à Bruxelles.
Sa production, en revanche, a dépassé les frontières depuis plus de quarante ans. Affichiste ? graphiste ? illustrateur ? dessinateur de bande dessinée ? L’inclassable Peellaert nous entraîne dans le sillon des icônes du siècle. Il a réalisé les pochettes de disques de Bowie ou des Stones, les affiches de Wenders, Scorcese ou Coppola… et son œuvre a laissé se croiser sur fond d’aventures et de roman noir Jackie Kennedy et Mohammed Ali, Lady Di et Prince. Au pays des célébrités, Peelaert s’est allié à l’un des meilleurs critiques rock du siècle, Nick Cohn. Ensemble, ils ont réalisé Rock Dreams : le journal secret de Max Vail, un personnage fictif né en 1900 et mort en 1999 dans la misère. Cette fiction composée de textes et d’images nous propulse dans une jet-set mondiale avec entre autres Marilyn, James Dean, Chaplin, Sartre et Madonna. Une œuvre pop qui prend des allures de Musée Grévin et propage ses mythes sur les murs de la galerie Cueto
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Mythologie pop
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°183 du 19 décembre 2003, avec le titre suivant : Mythologie pop