PARIS - Côté rue, dans l’espace en rez-de-chaussée de la galerie Nelson, Ken Lum a joué le jeu de l’affichage public.
C’est là qu’il a disposé ses Shopkeepers, des détournements d’enseignes typiquement nord-américaines. Portant sur des questions d’identités et de minorités, les ajustements effectués par l’artiste jouent sur les strates du langage publicitaire et l’esthétique de la consommation. Second volet de l’exposition parisienne du Canadien, les miroirs présentés au premier étage de la galerie marquent un nouveau jalon dans son travail. Avec des textes imprimés sur des surfaces réfléchissantes, Ken Lum surtitre littéralement l’image du spectateur d’interrogations intimes.
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Miroir, mon beau miroir…
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°182 du 5 décembre 2003, avec le titre suivant : Miroir, mon beau miroir…