Street art et cinéma ? A priori, le rapprochement qu’opèrent Stéphanie Martin-Petit et Christian Omodeo ne va pas de soi.
À travers un ensemble de photographies, de textes et d’entretiens, leur ouvrage souligne pourtant les points communs qui lient les deux formes d’expression, à commencer par leur recours à un registre populaire. En proposant de relire l’histoire du 7e art à travers un corpus de pochoirs, d’affiches et de peintures murales, il montre aussi l’extraordinaire capacité de l’industrie cinématographique à infuser les imaginaires. De Charlot à Marylin, en passant par E.T., Batman et Jurassic Park, les mythes hollywoodiens inspirent en effet largement le street art, dont ils disent en retour la propension à remixer la culture de masse et à en organiser la circulation dans l’espace urbain.
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Le 7e art à la rue
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°708 du 1 janvier 2018, avec le titre suivant : Le 7e art à la rue