PARIS
PARIS - En consacrant une rétrospective à Zao Wou-ki, la galerie nationale du Jeu de paume rend hommage à l’un des derniers ténors de l’abstraction des années 1950.
Né à Shanghaï, Zao Wou-ki arrive à Paris en 1948 et tombe immédiatement dans le bain de la peinture moderne occidentale, alors qu’à la même époque nombre d’intellectuels regardaient vers l’Orient et la calligraphie. Henri Michaux sera parmi les premiers à soutenir l’artiste, dont le parcours a croisé celui de Pierre Soulages, Olivier Debré, Franz Kline ou Sam Francis. Dans la centaine d’œuvres présentées ici, la manière du peintre, aujourd’hui âgé de 82 ans, se déploie dans un lyrisme constant, simultanément transmis par la couleur et la forme, aplats et envolés.
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Éloges de Zao Wou-ki au Jeu de paume
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°181 du 21 novembre 2003, avec le titre suivant : Éloges de Zao Wou-ki au Jeu de paume