Récemment nommé à la tête des Musées royaux des beaux-arts de Belgique, Michel Draguet, à quarante et un ans, n’en est pas à son coup d’essai. Professeur d’université, il a déjà organisé pas moins d’une dizaine d’expositions sur le symbolisme ou des artistes belges des années 1950 et rédigé une quinzaine d’ouvrages dont l’une des premières monographies sur Fernand Khnopff. Il a d’ailleurs conservé deux cours « pour rester au contact de la réalité » et souhaite moderniser l’immense institut dont il a aujourd’hui la charge. Au programme : une rénovation du parcours de l’art ancien, un nouvel accrochage
des salles consacrées aux xixe et xxe siècles, puis une politique d’expositions qui mettra en valeur le patrimoine national aux côtés de sujets aux ambitions plus européennes. Michel Draguet veut également développer la recherche scientifique au sein de l’établissement, afin d’en faire un réel partenaire pour d’autres institutions internationales. Son dernier cheval de bataille est l’ouverture du musée Magritte, prévue pour 2007, grâce à un mécène privé dont le nom demeure encore secret...
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Michel Draguet : un nouvel élan à Bruxelles
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°573 du 1 octobre 2005, avec le titre suivant : Michel Draguet : un nouvel élan à Bruxelles