Grâce à Philippe Julian, son mentor, il a su comprendre très tôt le monde des antiquaires et des beaux objets. Jeune diplômé de philosophie, Jean-Louis Gaillemin (© Raphaël) se lance alors dans la décoration de boîtes de nuit branchées parisiennes. En cette époque d’Art Déco disco en phase avec les disques de Dona Summer, il invente des jetés de néons pour le Sept et le premier Privilège. Le jour, il est correspondant d’Architectural Digest à Paris, donne du nerf à Beaux-Arts Magazine avec ses colonnes signées Dorick Sembasz, lance L’Objet d’Art en 1988. Devenu professeur d’histoire des arts décoratifs à l’Université de Paris IV, il signe plusieurs livres prémonitoires comme Les sièges d’Emilio Terry ou Les décorateurs des années 40. Aujourd’hui il publie aux éditions Assouline un recueil de portraits de 46 antiquaires parisiens illustré par Laziz Hamani. De l’esprit à toutes les pages.
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L’esprit JLG
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°519 du 1 septembre 2000, avec le titre suivant : L’esprit JLG