La cour d’appel de Paris vient de confirmer le 2 avril la bonne foi de l’État lors de l’acquisition en 1985 du Portrait d’un gentilhomme sévillan de Murillo pour le Musée du Louvre.
Acquis cinq millions de francs auprès d’un notaire genevois agissant pour le compte d’une succession, ce tableau appartenait à Suzanne de Canson, décédée en 1986 dans de dramatiques conditions. Cette affaire avait abouti à la condamnation de Joëlle Pesnel – sa dame de compagnie – pour séquestration et abus de confiance. La procédure pénale avait également établi sa préméditation aux fins de tromper l’acquéreur du Murillo sur son origine.
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Affaire Canson
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°126 du 27 avril 2001, avec le titre suivant : Affaire Canson