Jeunesse - Incontournable conte classique mille et une fois exploré, Philippe Jalbert nous met pourtant au défi de ne pas dévorer sa version exigeante du Petit Chaperon rouge. La mise en page sert la mise en scène : page de gauche le loup, page de droite le chaperon. Le tout enrichi d’une grammaire cinématographique qui oppose jeux de regards et points de vue croisés des célèbres protagonistes. Une esthétique de gravure pure qui ravira les admirateurs d’Edward Gorey où le trait hachuré dialogue avec de parcimonieux aplats rouge vif.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Plein les yeux
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°707 du 1 décembre 2017, avec le titre suivant : Plein les yeux