ROME (ITALIE) - Accueilli sous les quolibets lors de son inauguration en 2006, l’édifice ultramoderne de Richard Meier abritant le Musée de l’Ara Pacis, à Rome, va être revu. Le grand mur de pierre, qui le sépare du quai très embouteillé le long du Tibre, va être abaissé de moitié.
La circulation sera enterrée dans un tunnel tout le long du bâtiment, laissant place à un jardin. Selon le bureau du maire Gianni Alemanno, les travaux devraient être achevés d’ici la fin de son mandat en 2013. Celui-ci s’était pourtant engagé à supprimer le bâtiment, une « cicatrice dans le cœur de la ville et un geste d’arrogance intellectuelle envers les habitants ».
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Un Ara Pacis aéré
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°323 du 16 avril 2010, avec le titre suivant : Un Ara Pacis aéré