Comment Agnès de Gouvion Saint-Cyr, inspecteur général pour la photographie au Ministère de la Culture, est-elle devenue l’une des références de la photographie en France ?
En débutant en Arles, tout simplement. À la jeune fille d’alors d’être l’une des « petites mains » du festival. Le reste de l’année, elle étudie à Paris ou Copenhague, le danois mais aussi le cinéma, le théâtre, la littérature anglaise... quand elle ne s’exerce pas à la danse. La spécialiste en photographie qu’elle est devenue depuis a été, comme Pierre Barbin précédemment, « prêtée » par l’État à la Ville d’Arles en 1990. En trois mois elle va remettre de l’ordre dans les finances en déconfiture et monter les expositions de l’été. Depuis, l’inspecteur général inventorie les collections, enchaîne les expositions et continue de s’interroger sur le devenir de la photographie. « J’ai connu des images. Je travaille sur des œuvres. Elles mesuraient 40 centimètres, elles font aujourd’hui 3 mètres. C’est passionnant ! »
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L’œil d’Agnès de Gouvion Saint-Cyr
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°508 du 1 juillet 1999, avec le titre suivant : L’œil d’Agnès de Gouvion Saint-Cyr