SYDNEY (AUSTRALIE) [08.09.08] - Les griefs se multiplient à l’encontre de la Biennale d’art contemporain de Sydney. Au cœur du débat : plusieurs œuvres malmenant des animaux mais aussi une affiche exposée devant le musée d’art contemporain de la ville.
La seizième édition de la Biennale d’art contemporain de Sydney, intitulée « Revolution- Forms that turn » se voulait révolutionnaire. Mais, la révolution artistique ne s’est pas déroulée sans heurt ni plaintes. La police de Sydney a enregistré plusieurs plaintes et appels dénonçant la violence de certaines œuvres.
Les œuvres litigieuses sont jugées barbares et contraires à la protection et aux droits des animaux. Les associations de défense des animaux se sont manifestées rapidement après l’inauguration de la Biennale début juin. Une des œuvres est une célèbre photographie de l’artiste Maurizio Cattelan intitulée Novecento : elle représente un cheval suspendu par des cordages dans une salle d’exposition.
Les plaintes concernent aussi une affiche géante exposée devant le musée d’art contemporain de Sydney, comportant une simple inscription « 200 years of White Lies ». Devant l’afflux de plaintes, la police a été contrainte d’accompagner un des plaignants à la manifestation afin de juger de la nature des œuvres et d’évaluer auprès des organisateurs le possible retrait de l’affiche et quelques pièces.
(Source : The Sydney Morning Herald)
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Nombreuses critiques à l’encontre de la Biennale de Sydney
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