Des sourires, des paysages grandioses, des oiseaux de pierre, des sceptres, des danseurs… Avec ses images sublimes et ses textes qui racontent l’art historique du Zimbabwe, l’ouvrage de Gillian Atherstone, qui fut conservatrice de la National Gallery of Zimbabwe, et de l’artiste Duncan Wylie nous invite au plus envoûtant des voyages à travers mille ans d’histoire.
Il commence sur des sites sacrés, où des roches rouges se détachent sur le bleu du ciel – là, des prêtresses transmettaient les requêtes de pluie que la population voulait adresser à la divinité –, et se poursuit dans les ruines du Grand Zimbabwe, vaste cité médiévale, avec ses mystérieux oiseaux de pierre. Duncan Wylie a pu les photographier non pas dans les musées où ils sont conservés, mais dans les ruines où il a pu les ramener le temps de son projet. Le périple s’achève sur des œuvres contemporaines, témoignant de la vitalité d’une identité aujourd’hui menacée. En route, le lecteur aura rencontré des danseuses ndau possédées par des esprits ancestraux et admiré haches rituelles ou bâtons ornés d’animaux, découvrant dans cette épopée la puissance symbolique de l’art du Zimbabwe.
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Zimbabwe, art, symbole et sens
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°739 du 1 décembre 2020, avec le titre suivant : Zimbabwe, art, symbole et sens