PHOTOGRAPHIE. Si l’influence des arts premiers sur la peinture et la sculpture d’avant-garde est assez bien connue, celle du primitivisme dans la photographie, en revanche, souffre de lacunes.
À partir d’un travail louable de recension des traces du primitivisme laissées dans la photographie depuis 1918, Valentine Plisnier tente de saisir comment les photographes se sont réapproprié ces sources. L’historienne de l’art s’interroge : « Cette influence […] a-t-elle eu également un impact sur la photographie ? » Y a-t-il un sens à « justifier une étude thématique » sur le sujet ? À mesurer l’importante iconographie rassemblée ici, la réponse est oui. Mais cette « étude » reste à faire : la sur-division du livre en sous-chapitres et la superficialité des analyses ne permettant pas toujours de comprendre la nature de cette influence.
Valentine Plisnier, Le Primitivisme dans la photographie, Éditions Trocadéro, 328 p., 75 euros
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Valentine Plisnier, Le Primitivisme dans la photographie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°656 du 1 avril 2013, avec le titre suivant : Valentine Plisnier, Le Primitivisme dans la photographie