Lui-même explorateur urbain, l’historien Nicolas Offenstadt mêle son témoignage personnel à ceux d’urbexeurs plus ou moins connus, et esquisse une typologie de ces explorateurs.
Malgré des dérives mercantiles, l’urbex a des liens forts avec l’archéologie du contemporain et avec une forme de lutte contre l’oubli du monde ouvrier. La fin de l’ouvrage change de ton et propose des conseils pour urbexeur débutant, brouillant la frontière entre ouvrage d’analyse et guide du routard urbain.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Urbex
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°757 du 1 septembre 2022, avec le titre suivant : Urbex