Trois ans de travail, 432 pages, 395 reproductions d’œuvres, 120 photos… cette somme sur Edik Steinberg, a été réalisée par Gilles Bastianelli et Galina Manevich (la veuve de l’artiste).
Leur ouvrage est la première monographie consacrée à ce maître de l’abstraction, né en 1937 à Moscou, mort en 2012 à Paris, où il vivait une partie de l’année depuis vingt-cinq ans et passant l’autre partie à Taroussa en Russie. Le galeriste Claude Bernard l’avait découvert à Moscou en 1985 avant de lui organiser une première exposition personnelle en 1988, suivie de nombreuses autres. Un film de 40 minutes, intitulé Edik Steinberg, Métagéométrie, lettre à Malevitch, accompagne la sortie du livre.
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Une première monographie pour Steinberg
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Abonnez-vous dès 1 €Fernandez D., Marcadé J.-C., Bastianelli G. et Manevich G., Edik Steinberg, Éditions Place des Victoires, 49,90 €.
Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°448 du 8 janvier 2016, avec le titre suivant : Une première monographie pour Steinberg