Le deuxième roman d’Hélène Ling prend pour cadre le monde de l’art contemporain, dans la période charnière qui assiste, entre les années 1970 et 1980, à la chute des idéaux, quand la bohème laisse place au cynisme. Mais l’auteur vise moins la satire qu’elle ne campe le décor d’une amitié gâchée entre le narrateur et un artiste imposteur, racontée dans un vertigineux flash-back.
Hélène Ling, Repentirs, éd. Gallimard, 318 p., 19,50 euros, ISBN 978-2-07-013295-9.
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Repentirs amicaux
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°351 du 8 juillet 2011, avec le titre suivant : Repentirs amicaux